Tout son travail vise à mettre à l’honneur la beauté africaine dont les standards de beauté sont bien souvent mis à l’écart. Je veux “que les petites filles se voient dans mon travail, qu’elles reconnaissent la beauté de leur peau, de leurs lèvres et de leurs hanches”, explique-t-elle sur le site de l’Unesco.
Cheveux crépus, tressés, ou encore perlés, Thandiwe Muriu met un point d’honneur à exposer les différentes coupes afros qui occupent une place importante dans son travail. Elle a pour mission de répertorier l’ensemble des coiffures africaines traditionnelles et de devenir les premières archives modernes de nos cheveux.