La santé mentale : un sujet tabou en Afrique
La santé mentale : un sujet tabou en Afrique La santé mentale est devenue un réel sujet d’actualité. Des sportives de haut niveau comme la
Je m’appelle Olga, je suis d’origine burkinabé, j’ai 28 ans, je suis issue d’un Master STAPS spécialisé en sport et santé, puis j’ai complété mon cursus avec un BTS diététique.
En terme d’expérience , j’ai travaillé 7 ans dans le sport avec des enfants en surpoids, ou issus de quartiers difficiles. J’ai travaillé également avec des adultes en tant que coach sportive.
Nice Eat c’est une marque de nutrition de sportive naturelle et healthy food. Mon défi c’est d’allier l’expertise diététique à la gourmandise que ce soit sucré ou salé. Le but est d’aider les sportifs au quotidien dans leur alimentation. Je les accompagne, je les conseille et je les motive. Comme Nike, je m’adresse aux sportifs mais finalement c’est une solution qui s’adresse à tout le monde. Ma phrase favorite c’est “puisque la vie est un challenge, nous sommes tous des sportifs. Si nous sommes tous des sportifs, Nice Eat s’adresse au final à tout le monde”.
Nice Eat propose des plats cuisinés, des snacks et des boissons diététiques pour les sportifs.
Mon ambition c’est d’être une marque référente dans le domaine de la nutrition sportive et de pouvoir retrouver mes produits dans les salles de sport ou tout autre endroit où l’on peut retrouver des sportifs
Tout simplement parce que le sport et la diététique ce sont mes deux passions. Je fais moi-même beaucoup de sport et je fais très attention à ce que je mange. Pour moi c’est hyper important d’être bien à l’intérieur comme à l’extérieur, c’est pour cela que j’ai fais mes études dans ce domaine là et que j’ai voulu me lancer à mon propre compte avec Nice Eat.
Parce que c’était l’un des moyens de faire ce que je voulais vraiment faire, de créer ma propre activité, quelque chose qui m’appartient à 100%. Puis malgré mes qualifications, je ne parvenais pas à avoir de travail stable, c’est aussi la raison pour laquelle je me suis lancé dans l’entreprenariat.
Celui que je vis actuellement. Être dans un restaurant éphémère aux Docks de Marseille. Ce travail m’a été proposé à la dernière minute et j’ai pas vraiment eu le temps de m’organiser. Je ne suis pas issue de la restauration donc ça a été très compliqué de faire tout toute seul, de gérer la préparation des plats seule, d’animer un stand seule, mais je me suis lancé le défi et je compte bien le relever.
Avoir eu le courage de lancer mon activité. Parce qu’on peut facilement se laisser aller par la facilité et j’ai plutôt choisi le chemin dit le plus dur.
1. Se rapprocher d’organismes qui accompagnent les entrepreneurs. Ça permet de créer un réseau, de se structurer, d’élargir sa vision. C’est fondamental, parce que si moi-même je n’avais pas bénéficié de cet accompagnement je n’en serais pas là aujourd’hui.
2. Savoir aussi s’entourer pour mieux déléguer par la suite. C’est quelque chose que je n’arrive pas à faire pour le moment mais que j’aimerais beaucoup faire parce que tout faire seul peut être très compliqué selon le projet.
3. Avoir également une vision sur du long terme permet de savoir où on veut aller. Cet objectif à long terme c’est bien de le découper à moyen terme et court terme ce qui permet d’avoir des actions concrètes sur le terrain et atteindre les objectifs qu’on s’est fixé.
4. Se relever après chaque chute, ne pas se laisser abattre et se battre. Ce qu’on peut voir de l’extérieur ce n’est pas ce que la personne endure, c’est très difficile il faut le dire, mais ça en vaut le coup.
5. Le dernier conseil c’est qu’il faut parfois savoir faire des sacrifices pour avancer dans cette voie là.
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